CâĂ©tait une des dispositions les plus contestĂ©es de la loi antiterroriste de novembre 2014 : le blocage administratif â sans passage par le juge judiciaire â des sites web qui nâauraient Selon la nature de la « panne » ou de la censure, il existe des moyens de retrouver un accĂšs aux sites bloquĂ©s â dans la limite de la loi, qui sâapplique aussi, rappelons-le, au web. Le Depuis lâentrĂ©e en application de la loi du 13 novembre 2014 relative Ă la lutte contre le terrorisme, les autoritĂ©s administratives françaises peuvent exiger des fournisseurs dâaccĂšs Ă internet (FAI) français le blocage des sites web provoquant Ă des actes de terrorisme ou Ă caractĂšre pĂ©dopornographique. La loi permet Ă©galement des mesures administratives de retrait de tels Les FAI prendront cette mesure s'il existe une ordonnance judiciaire valide contre un FAI concurrent. Le nouvel accord permet Ă Rights Alliance d'Ă©tendre plus facilement le blocage de sites sans l'approbation du tribunal. Par exemple, lorsque de nouveaux sites proxy apparaissent.
FAI et hĂ©bergeurs n'ont pas d'obligation gĂ©nĂ©rale de surveillance des ou de faire cesser un dommage occasionnĂ© par le contenu d'un site internet ;. â depuis 2014, une procĂ©dure de blocage administratif, mesure subsidiaire par rapport au Â
demande le blocage d'un site web, elle ne prĂ©cise pas le moyen de bloquer ledit L'inconvĂ©nient de cette mĂ©thode est de taille : un FAI ne peut modifier queÂ
18 dĂ©c. 2014 Pour la premiĂšre fois en Europe, un juge a ordonnĂ© le blocage par les fournisseurs d'accĂšs Ă Internet (FAI)de plusieurs sites portant atteintes Ă Â
Les sociĂ©tĂ©s de mĂ©dias demanderesses sont tenues dâindemniser les FAI pour (i) les coĂ»ts marginaux raisonnables en lien avec la mise en Ćuvre et la mise Ă jour du blocage des sites Web requis par lâordonnance et (ii) les charges raisonnablement engagĂ©es, y compris les honoraires de dĂ©fense, dĂ©coulant dâune rĂ©clamation dâun tiers en raison de leur observation de lâordonnance.
Internet est trop souvent dĂ©crit - et dĂ©criĂ© - comme une zone de non-droit. Il en va diffĂ©remment s'agissant des mesures de blocage de sites Internet,Â
Cela permet de faire passer le trafic DNS via le protocole sĂ©curisĂ© HTTPS. Du coup il est plus difficile pour les gens de lâextĂ©rieur, y compris les FAI, dâespionner les sites auxquels les utilisateurs accĂšdent. Et si le fournisseur ne peut plus voir les sites web visitĂ©s par ses clients, il a forcĂ©ment plus de mal Ă les bloquer.
7 dĂ©c. 2014 ZDNet vous en a parlĂ© hier, la justice de notre pays vient d'ordonner aux principaux FAI français de bloquer le site The Pirate Bay. Et le site deÂ
Dans une ordonnance du 28 juin 2011, le PrĂ©sident du Tribunal de Grande Instance de Paris rappelle les conditions nĂ©cessaires Ă la mise en Ćuvre de lâarticle 6.I.8. de la LCEN permettant dâordonner le blocage de sites internet. En lâespĂšce, les Editions Gallimard avaient constatĂ© que plusieurs Ćuvres littĂ©raires de son catalogue Ă©taient reproduites et⊠Chaque Nom de domaine est reliĂ© Ă une adresse IP qui dĂ©finit lâURL dâun site web. Dans gĂ©nĂ©ralement des cas, les sites web que vous visitez sont bloquĂ©s par leur nom ou par leur URL. Si tel est le cas pour le site web que vous souhaitez visiter, alors il va falloir accĂ©der Ă celui-ci via son adresse IP afin de contourner le blocage. Nos ordinateurs utilisent gĂ©nĂ©ralement le DNS de nos fournisseurs de services Internet (FAI). Lorsque les fournisseurs de services Internet utilisent leur propre DNS, cela leur donne effectivement le contrĂŽle sur les sites Web quâils souhaitent restreindre. De nombreux sites sont bloquĂ©s en raison de directives du gouvernement malaisien visant Ă censurer ces sites. Et le moyen le plus